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  • Photo du rédacteurCentre culturel de Colfontaine

CHAPELLES - EGLISES - TEMPLES.

Dernière mise à jour : 19 avr. 2023

CHAPELLE SAINTE-BARBE - WASMES.

Quoi de plus normal de trouver à l'entrée d'un charbonnage une chapelle dédiée à la Sainte patronne, protectrice des mineurs de fond notamment. Sainte Barbe, fête : le 4 décembre. Symboles : la tour percée de 3 fenêtres ainsi que l’épée qui lui ôta la vie et la palme du martyre. Son souvenir ne nous est parvenu qu’à la suite d’une tradition légendaire qui remonte au VIIème siècle. Celle-ci la faisait naître "dans une noble famille" de Nicomédie, au IIIème siècle de notre ère. Son père, Dioskoros, la boucla dans une tour afin de protéger sa beauté. Elle fut cependant convertie au christianisme par un disciple d’Origène, célèbre docteur de la foi, et perça la muraille de sa chambre d’une 3ème fenêtre, symbole de son adhésion au dogme de la Sainte-Trinité. La colère de Dioskoros fut épouvantable et il livra sa fille au bourreau. Barbe fut fouettée jusqu’au sang, ses plaies furent arrosées de vinaigre et de sel. Ensuite, on lui promena sur le corps une torche ardente ce qui lui vaudra, beaucoup plus tard, de devenir la protectrice des pompiers. Son père lui avait à peine tranché le col d’un coup d’épée qu’un éclair le pulvérisait ! Avant d’expirer, Barbe avait demandé au Seigneur la faveur de préserver de la mort subite tous ceux qui lui demanderaient d’intercéder pour eux. Firent donc appel à elle, tous ceux qui exerçaient un métier particulièrement dangereux : maçons, ardoisiers, plafonneurs, pompiers sans oublier les corporations qui utilisaient des explosifs. Chez nous, c’était la corporation des mineurs qui se sentait la plus concernée. La Sainte était primitivement vénérée par les houilleurs du Borinage et du Pays de Charleroi et par la suite, des mineurs liégeois.


El semaine tant pire.

La fête de la Sainte-Barbe se préparait 6 à 7 jours à l'avance. Ce laps de temps portait le nom d'el semaine tant pire. Les 4 et 5 décembre, on ne travaillait pas et il fallait donc compenser la perte de ces deux jours par un surcroît de production. Les mineurs travaillaient d'arrache-pied, les mesures de sécurité et la surveillance étaient quelque peu relâchées. Il y avait un net accroissement des accidents, fort peu graves, et bien souvent, non déclarés. La prime Sainte-Barbe était élevée ou non suivant l'importance de la production pendant cette semaine. A partir du 3 décembre, on descendait la statue de Sainte-Barbe dans certaines fosses. Dans d'autres, on construisait à la surface une chapelle Sainte-Barbe, en bois de mine, avec des gaillettes et des grosses pierres. Elles étaient de véritables chefs-d'œuvre de naïveté et de dévotion, bien que la grande majorité des mineurs ne fréquentaient pas l'église.

La Bordée Sainte-Barbe.

Le 4 décembre, c'était la fête : Dès le point du jour, le personnel de maîtrise au grand complet, délégué par tous les sièges de la Compagnie, du moindre au plus important, s'achemine vers les bureaux du siège social pour exprimer au Patron les vœux traditionnels. Le "grand bureau", pour une fois moins funèbre, retentit de l'écho des congratulations cordiales échangées depuis le haut jusqu'au bas de l'échelle. Très solennellement, la fosse qui avait enlevé le plus de chariots remportait la compétition annuelle. Les mineurs de cette fosse étaient fleuris de roses en papier et recevaient une coupe. Sans souci d'opinion politique ou philosophique, les mineurs se rendaient à l'église puis regagnaient le bureau central où le Patron offrait le porto.

Archives du Centre culturel de Colfontaine.




CHAPELLE SAINT HUBERT

Se situe rue courte à Petit Wasmes.















Chapelle Sainte Bernadette

Se situe rue du Dragon – désacralisée.

Cette chapelle appartenait au Couvent des Sœurs Noires qui se situait rue de Pâturages.



EGLISE NOTRE-DAME - PÂTURAGES.

Notre-Dame auxiliatrice est le plus souvent représentée portant le Christ enfant sur le bras gauche et un sceptre dans la main droite; sa tête est auréolée d'étoiles.

Sa fête, instituée par Pie VII, a lieu le 24 mai.












L'Eglise Notre-Dame Auxiliatrice du Cul du Q'Vau à Pâturages a été reconnue par l'évêché dès sa construction en 1872. L'Etat ne la reconnut que par l'Arrêté Royal du 6 mars 1887. Primitivement, le clocher n'avait pas de flèche, il se terminait par un toit à 4 pans. L'église fut détruite par un incendie le dimanche 7 février 1954. Elle fut reconstruite sous la bénédiction de Monseigneur Himmer, Evêque, à partir de 1955, grâce à une collecte de fonds. L'Eglise Notre-Dame Auxiliatrice du Cul du Q'Vau à Pâturages est située à 91 m d'altitude.



Archives du Centre culturel de Colfontaine




EGLISE NOTRE-DAME - WASMES.


Au XIème siècle, alors que Wasmes n’était encore qu’une propriété rurale, (…) il existait un autel dédié à la Sainte Vierge situé sur le penchant d’une colline.(…) l’église de Wasmes est certes l’une des plus anciennes de la région et si l’actuel édifice date de 1606, le sanctuaire existant à cet endroit a été bâti il y a plusieurs siècles.(…).Cet édifice a été classé en 1960, en raison de sa valeur historique. Le bâtiment avait une architecture très hétéroclite et surtout curieuse. Le chœur était un vestige du style gothique remarquable par la finesse de ses lignes (…) L’église de Wasmes a subi de nombreuses modifications, soit suite aux guerres ou aux incendies. La statue de la Sainte-Vierge, qui fut sauvée de justesse lors de l’incendie du 22 février 1986, mesure 85 centimètre, a été taillée dans un bloc de chêne et est sculptée à la façon des statues de plâtre anciennes (…). Le 26 septembre 1989, l’édifice religieux fut déclassé, sauf la tour, et l’architecte Michel Dessart réalisa les plans. Enfin, le 28 mai 1995 eut lieu la consécration de la nouvelle église en présence de Mgr Huard. (…)


DEGOUYS Jacques – Qui était « Marie Boulette » ? Colfontaineries L’affaire des boulettes de Wasmes, Belgique, pp 79 à 80.



D'autres articles concernant l'église de Notre-Dame.

L'église de Notre-Dame de Wasmes

Vestiges de l'église gothique.

La chapelle primitive de Notre-Dame de Wasmes était établie sur le versant d'une colline. Le 7 juin 1342, elle s'agrandit de la chapellenie de Sainte Catherine. Au dos d'un chirographe daté de Quaregnon le 13 septembre 1390 nous trouvons « chis escrifs est le caplain de la capleni Sainte Katerine de l'église de Wammes ». Dans la suite, elle fit place à une église dont il reste quelques souvenirs : deux pinacles gothiques (partie la plus élevée de la voûte) placés de chaque côté de l'autel de la Sainte Vierge, presque à la hauteur de la voûte ; et deux pierres tumulaires. L'une de ces pierres est encastrée dans la muraille de la chapelle de la Sainte Vierge ; elle offre une niche peu profonde, plus large que haute, dans laquelle se trouvent en relief dix personnages : on y remarque un évêque portant la mitre et la crosse et la Sainte Vierge présentant l'enfant Jésus. (…)

L'autre pierre tumulaire est scellée dans la muraille d'entrée de la nef de la Sainte Vierge, et offre aussi une niche peu profonde, plus large que haute. Elle contient en relief la Sainte Vierge sur son lit de mort entourée des Apôtres et des saintes femmes. (…) Cette pierre ne porte plus d'inscription.

Enfin, il reste de l'église ogivale : la cuve baptismale et son piédestal hexagonal, orné d'une couronne de feuilles bien ciselées. Ces fonts sont considérés comme un travail de maîtrise du XVIème siècle.(…)


L'EGLISE ACTUELLE.

Dans son « Wasmes dans les temps passés » Monsieur l'avocat DELACROIX nous en donne la description d'après l'abbé Petit.

L'église actuelle a trois nefs. Elle mesure dans son œuvre, depuis la porte principale jusqu'au chevet du chœur, 33 m. 50, (…)

Le chœur est en style ogival et à pans coupés, ayant de chaque côté deux fenêtres ogivales qui ont autrefois été garnies de meneaux. À l'extérieur, elles sont entourées d'une archivolte (moulure à la tête d'une arcade) aussi bien que celle du chevet qui est masquée.

Le chœur est orné d'une corniche en bois ; aux angles du chevet, et en avant des fenêtres se trouvent des modillons (petite console) sur lesquels reposent les arceaux de la voûte.

Tandis qu'aux angles des pans, c'est un sommier transversal au milieu duquel s'élève un support. (…)

À l'entrée du chœur, à droite, se trouve la porte de la sacristie et en face était celle de la chapelle de la Sainte Vierge. (…)

Deux pilastres aux chapiteaux romans, appuyés l'un contre la tour et l'autre contre le mur de la chapelle de la Sainte Vierge, soutiennent un arc de triomphe ogival. Le fond de la chapelle de la Vierge est carré ; la voûte est en ogive, ayant des arêtes et des nervures. La fenêtre qui éclaire la chapelle est aussi ogivale ; elle est un peu plus petite que toutes les autres fenêtres de l'église.

Cette chapelle et le chœur datent probablement du commencement du XVIème siècle. (…)

Les cloches.

En 1518, Dom Quentin Benoît, 44ème abbé de Saint-Ghislain (1494-1528), baptisa les cloches de Wasmes qui passaient pour les plus belles et les plus grosses des villages du Hainaut.(…) Dans I' « Histoire admirable de Notre Dame de Wasmes » écrite en 1771 par G. de Boussu, l'auteur nous dit que « les cloches sont au nombre de QUATRE dont la plus grosse est une des plus belles du pays ». Dans son histoire du Sanctuaire de Notre-Dame, L. DELACROIX nous dit que lors des fêtes jubilaires du 800me anniversaire (1895) , l'évêque de Tournay, Monseigneur Du Roussaux, la comparait à un bourdon de cathédrale. En 1944, les allemands l'ont volée : elle datait de 1816, pesait 2700 kgs et mesurait 1 m. 35 de diamètre !

Remarquable de sonorité, elle envoyait ses notes graves dans tout le Borinage. (…)

La petite cloche, la seule qui reste, date de 1841. Elle mesure 65 cm. de diamètre (…) Les chevalets de suspension de la troisième cloche, qui formait carillon, existent toujours. (…)


La Vierge de Wasmes.


On y porte en grande vénération une statue de la Vierge, tenant l'Enfant Jésus dans ses bras. Elle a été taillée et sculptée dans un bloc de chêne : elle mesure quatre-vingt- cinq centimètres de haut. La Vierge, coiffée d'un chaperon, coiffure du moyen âge, les cheveux discrètement ramenés sur les épaules, porte l'Enfant Jésus sur le bras droit : il tient en main une grappe de raisins. Elle semble dater du XVIème siècle. Elle n'a été habillée qu'à la fin du XVIIème siècle, sous l'influence de la mode espagnole. (…)

DUMORTIER, Georges – "L'église Notre-Dame de Wasmes." –"Gilles de Chin et le dragon. Légende et vérité".

Le sanctuaire de Notre-Dame de Wasmes

(…)

La chapelle de Notre-Dame de Wasmes était bâtie sur le versant d'une colline. Dans la suite, elle fit place à une église dont il reste quelques souvenirs : deux pinacles gothiques placés de chaque côté de l'autel de la Sainte-Vierge presqu'à la hauteur de la voûte : deux pierres tumulaires. L'une de ces pierres est encastrée dans la muraille de la chapelle de la Sainte-Vierge ; elle offre une niche peu profonde, plus large que, haute, dans laquelle se trouvent en relief dix personnages (…)

La statue de la Sainte-Vierge qui mesure' quatre-vingt-cinq centimètres de hauteur, a été taillée dans un bloc de chêne et est sculptée à la façon des, statues de plâtre de notre temps. La Sainte-Vierge, coiffée d'un chaperon, coiffure du moyen-âge, les cheveux discrètement amenés sur les épaules comme aux mêmes temps, porte sur le bras droit l'enfant Jésus qui tient en mains une grappe de raisin. (…)

M. Petit, auteur d'une notice sur le village de Wasmes et sa procession en 1869 écrivait qu'il y avait à Wasmes peu de temps avant lui, deux tableaux représentant l'un Gilles de Chin armé, vêtu de sa cotte d'armes et en lutte avec le dragon ; l'autre, Gilles priant à genoux devant Notre-Dame de Wasmes. Il est question de ces tableaux dans un manuscrit de 1572.

Une tradition populaire prétend que ce fut devant la même statue de Notre-Dame de Wasmes que l'on vénère aujourd'hui, que Gilles de Chin, seigneur de Berlaimont et de Wasmes, fit sa prière avant d'aller combattre le monstre qui désolait le pays. C'est à ce pieux serviteur de la Sainte-Vierge que tous les auteurs ont attribué la dévotion qui, depuis ce temps, s'est continuée envers cette divine Mère, dans l'église de Wasmes. (…)

DELACROIX, Léonard – "Wasmes dans les temps passés. Histoire de Gilles de Chin et du dragon. Son sanctuaire de Notre-Dame". – Wasmes, imprimerie de Fulgence.





EGLISE SAINT-FRANCOIS D'ASSISE - PETIT-WASMES.

L’église , dédié à Saint-François d’Assise, est un sanctuaire néo-gothique construit en 1890 par l’architecte tournaisien Constant Sonneville sous l’épiscopat de Mgr Isidore-Joseph Du Rousseau, évêque de Tournai.


Jusqu’en 1891, Wasmes et Petit-Wasmes ne constituaient qu’une seule et même paroisse.








En 2018, le bâtiment a été désacralisé et vendu.

La cloche de l'église a été renvoyée au Vatican.







Archives du Centre culturel de Colfontaine.




Eglise de Warquignies

L'église de Warquignies est dédiée à la Sainte Vierge.



La paroisse de Warquignies devient autonome de celle de Wasmes en 1803. Succédant à une chapelle, l’actuelle église a été construite à la fin du XIXe siècle et a fait l’objet d’une importante restauration récente.










Eglise Saint-Michel - Pâturages.

L'église Saint-Michel date de 1753, elle est du style classique (…) et son buffet d'orgue en chêne est du XVIIIè siècle. (…)

L'édifice religieux proprement dit, est de style classique en pierre de Grandglise et en briques, (…) et est composé d’une tour en façade, d’une triple nef de cinq travées et d’un chœur à chevet polygonal prolongé par une sacristie. Il faut remarquer : la tour de quatre niveaux accusés par des cordons larmiers, précédée d’un escalier monumental en pierre, le portail cintré avec encadrement en pierre appareillée, surmonté d’un cartouche avec inscription gravée de 1753 (…). La nef épaulée de contreforts est éclairée par dix fenêtres bombées (….)

Le chapiteau d’un pilastre du chœur porte l’inscription « J.B.Manderlier 1863 ». L’intérieur est couvert par des voûtes domicales, certains pilastres portent des marques de carrier. La paroisse de Pâturages eut comme collateur l’abbé de Saint-Ghislain, elle fait aujourd’hui partie de l’entité de Colfontaine.



DEGOUYS Jacques – Qui était « Marie Boulette » ? Colfontaineries L’affaire des boulettes de Wasmes, Belgique, pp 45 à 47.


Pour visionner les reportages, cliquez :





Eglise des Ukrainiens

Située rue de Sahutiaux – quartier du Berchon.

Les communautés ukrainiennes et biélorusses de Wasmes.

Après la deuxième guerre mondiale, en 1947, certains ukrainiens déportés en Allemagne parviennent à s’enfuir et sont arrivés en Belgique pour travailler au charbonnage. Partis d’un pays où ils étaient opprimés par le régime soviétique, ils espèrent se reconstruire en Belgique. Mais ils doivent affronter les dures réalités : du travail, des conditions de vie... C’est la foi en Dieu qui les soudait. En 1962, ces migrants ukrainiens mineurs, s’engagent à bâtir une communauté, une église, une salle où ils peuvent vivre au mieux leur foi ukrainienne et des célébrations en rite oriental. C’est grâce au Père BOELS Achiel, un prêtre belge rédemptoriste, qui avait fait ses études en Ukraine, qui va se dévouer pour cette communauté avant l’arrivée des prêtres ukrainiens. C’est le début d’un vrai lien avec la Belgique. Plus de 60 ans après, la communauté a grandi et est heureuse d’accueillir dans le lieu historique de leur débarquement, les chrétiens qui y vont pour découvrir la richesse de la diversité du christianisme, ceux qui ont envie de célébrer dans la liturgie de Saint Jean Chrysostome selon le rite byzantin ukrainien. La communauté est animée par trois prêtres : le Père Adam Figurek, le Père Ihor Nakonechnyy et le Père Oleg Spodar. »


Archives de Jean-Claude Tant.



Temple des Darbystes

Situé à la rue du Grand Passage à Pâturages.



Les Darbystes font partie de nombreuses communautés qui apparurent à la fin du XIX° siècle.




Temple évangélique.

Situé à la jonction de la rue de l’Incroyable et de la rue Jean-Baptiste Clément.


Temple Pasteur Lhost - Petit-Wasmes.

L’histoire de l’Eglise Évangélique de Petit-Wasmes est intimement liée à l’histoire de Vincent Van Gogh.

En 1876, alors que le Protestantisme était en pleine expansion dans le Borinage, plusieurs mineurs de Petit-Wasmes se convertirent à Jésus-Christ. Ceux-ci se réunissaient à la rue du Bois, au « salon de Bébé ».

En décembre 1878, débarqua donc un jeune évangéliste hollandais, de 25 ans à peine, nommé Vincent Van Gogh afin de conduire cette église naissante. Pour les gens qu’il côtoyait, il avait incarné l’Évangile plus par les actes que par la parole, comme son Maître Jésus-Christ avant lui ! Beaucoup d’autres personnes se convertirent sous son impulsion, et le besoin d’un lieu plus grand se fit criant. Cependant, moins d’un an plus tard, malgré un ministère fructueux, son contrat ne fut pas renouvelé par le Consistoire des Églises Protestantes et il fut contraint de quitter Wasmes.

Il fallut attendre le 20 septembre 1896 et l’arrivée du Pasteur Lhost de Pâturages pour voir le projet d’achat de terrain et de construction d’un temple aboutir. L’inauguration eut lieu le 1er novembre 1897, 14 ans après le départ de celui qui allait devenir un des plus grands artistes au monde.

Il n’aura jamais vu ce temple. Mais les croyants qui s’y réunissent depuis 1897 jusqu’à aujourd’hui, sont le fruit, l’héritage de l’œuvre spirituelle et inestimable de "Monsieur Vincent".


Pasteur David Remy.




Temple protestant de Wasmes

Situé à la rue Saint Pierre.


La première pierre de ce temple protestant a été posée en 1868.

De goût éclectique et à tendance néo-classique, l’édifice est érigé sur une terrasse et dans des couleurs claires. Le temple a été inauguré le 15 Août 1868. La petite chapelle était trop petite pour contenir la foule présente. En 1900, sous le ministère du Pasteur E. Bouton, commencent les travaux de restauration et la construction d’une nouvelle tourelle surmontée d’un clocher. (Journées du Patrimoine 2020)









Archives du Centre culturel de Colfontaine.

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